En grande partie déboisée et ravagée sur le plan agricole ,la péninsule d`Azuero a été colonisée peu de temps après la conquête et sa large population indigène fut metizé en peu de temps. Aujourd'hui les habitants ruraux de la péninsule vivent dans un réseau des petits hameaux, également dispersés, dont la disposition, et les logements d'adobe ressemblent étroitement à ceux de l'Espagne médiévale.
Les photographies et des notes suivantes ont été prise dans quatre villages sis sur une ligne nord-ouest et à peu près parallèle sise approximativement à 5 km de la côte, dans la province de Los Santos. La distance entre le village le plus au nord La Laguna jusqu`à celui sis le plus au sud Pedasi est de 17 km. Les sources étaient les habitants âgés de la région et les opérateurs/propriétaire des fours, leurs noms étant enregistrés seulement si fournis volontairement. En raison de la nature coïncidente de mes observations, de contradictions dans l`information et des difficultés linguistiques, des anomalies à ces notes sont inévitables.
Il y a cinquante ans, on trouvait à Pedasi cinq fours à bois extérieurs servant à l'utilisation quotidienne. Aujourd'hui la plupart du pain consommé dans le village est transporté de la capitale où il est cuit dans les fours électriques des boulangeries commerciales. Il reste un four extérieur d'utilisation régulière, mais son opérateur vendt son pain et ses gâteaux en concurrence avec le pain " longue durée" cuit dans les capitales nationale et provinciales.
On trouve deux fours dans Purio. Celui photographié ici est dans l'arrière cour de son constructeur et opérateur Dona Marselina Sanchez sanchez. Dit pour être "facile", son défunt mari et elle ont mis quatre jours pour le construire il y a quarante ans.
Trois fours ont été photographiés quoiqu'il y en ait probablement deux autres dans le village. Tous les trois fours ont été construits par leurs opérateurs, et la taille, le style et la façon par laquelle ils ont été construits sont semblables..
À Laguna il n`y a aucun four à pain, quoiqu'il y ait "un four de miel".
Les fours à miel partagent les mêmes principes de construction et des matériels que les fours à pain de la région. Comme une chaleur basse et constante est nécessaire pour éviter de brûler le sirop les parois d'argile du four fournissent un excellent stockage thermal/thermique. La casserole de sirop est faite d'aluminium, plutôt que l'acier, de nouveau afin d`éviter de brûler le sirop. Sur le manche de la casserole est attaché une passoire d'aluminium (hors de la vue) utilisé pour remuer et verser l'eau sucrée pendant qu`elle est chauffé pour accélérer l'évaporation. L'ouverture de chargement est formé en arc, bati avec une section de baril en acier de quarante-cinq gallons. L'oeil est visible à gauche de la poignée gauche du bidon de lait. Les parois de ce four sont construits à partir d'une structure de branches droites d`un diamètre de trois pouces, enfoncées dans la terre verticalement, en forme d'un cercle. L'argile est appliquée, à la main, entre et autour des branches qui restent à l'intérieur de la paroi du four. Comme elles sont enrobées d`argile on dit que ces branches ne brûlent jamais.
Notez: Pour la photographie et le texte bref décrivant le 'Trapiche de caña' (l'appareil traditionnel actionné le cheval qu`on utilise pour extraire l'eau sucrée de la canne). (le cheval traditionnel appareil actionné usage d'extraire le sucre arrosent de la canne).
Notes et photographies complémentaires
Le trapiche de caña, vu ici tourné en sens inverse des aiguilles d'une montre, par deux hommes. Normalement c`est un cheval qui meut le trapiz. L'effort est transféré à deux rouleaux à dents d'acier émoussées, vers lesquels la canne est alimentée et ou elle est écrasée. L'eau de sucre est extraite de la canne et rassemblée au moyen d'un morceau de guttering galvanisé et une cruche.
On dit que de boire de grandes quantités d'eau de canne fraîche causera une extrême somnolence.
Note sur la construction. L'argile employée dans la construction des fours est prélevée de la terre localement. Dans La Laguna on nous a montré un coin de terre seche et craquelée dit pour être parfaite. L'`argile' était sablonneuse, contenant agrégats ensemble de gamme suffisant et une légère contamination végétale. Une fois préleveé du sol, 'l'argile' est placée dans une bac à boue et saturée avec de l'eau. Elle est alors travaillée avec les pieds jusqu`à consistance uniforme. Un peu de paille est ajoutée à l'argile employée pour l'extérieur du dôme.
Notez : Non-conformité. A prime abord j'avais présumé que les dômes de four avaient été construits en plançant de l'argile humide sur un dôme formée faite de branches flexibles, qui seraient finalement brûlées par le premiers feux, comme c` est le cas avec les fours Québéc traditionnels. Ce ne fut quand visitant La Laguna et en écoutant l`histoire de la construction du four de miel, qu'il est devenu évident que, au moins dans ce cas, la forme de branches a été complètement enveloppée dans l'argile et qu`elle est restée emprisonnée à l'intérieur des murs du four. À ce point je ne peux pas dire si les dômes du Pedasti, Purio et des fours Mariabe ont été construits sur ou autour de leurs formes de branche. Nous avons aussi visités les villages de Los Asientos, Las Cabezas, Venado et Los Pozos au Sud-ouest de Pedasi, quoiqu'aucun four n`a été trouvé dans ces villages. Nous espèrons que certaines des questions soulevées par l'information recueillie ici trouveront réponse lors de visites futures dans cette région.
Critique et des réactions informées sont bienvenus.
Marcus Flynn
Montreal, Quebec. Juin 1999.